ABONNEZ VOUS A NOTRE NEWSLETTERLes commentaires sont intervenus juste avant que les États-Unis ne déclarent qu’ils prévoyaient de rendre les injections de rappel largement accessibles à tous les Américains à partir du 20 septembre alors que les infections de la variante Delta augmentent.
Les données actuelles n’indiquent pas que des injections de rappel COVID-19 sont nécessaires, a déclaré mercredi l’Organisation mondiale de la santé (OMS), ajoutant que les personnes les plus vulnérables dans le monde devraient être entièrement vaccinées avant que les pays à revenu élevé ne déploient un complément.
Les commentaires sont intervenus juste avant que le gouvernement américain ne déclare qu’il prévoyait de rendre les injections de rappel largement accessibles à tous les Américains à partir du 20 septembre alors que les infections de la variante Delta du coronavirus augmentent.
La scientifique en chef de l’OMS, Soumya Swaminathan, interrogée sur la nécessité de boosters pour augmenter la protection contre la maladie, a déclaré lors d’une conférence de presse à Genève : « Nous pensons clairement que les données d’aujourd’hui n’indiquent pas que des rappels sont nécessaires ».
Des recherches supplémentaires étaient nécessaires, a-t-elle ajouté.
Le conseiller principal de l’OMS, Bruce Aylward, faisant référence aux injections de rappel administrées dans les pays à revenu élevé, a déclaré aux journalistes: « Il y a suffisamment de vaccins dans le monde, mais ils ne vont pas aux bons endroits dans le bon ordre. »
Deux doses devraient être administrées aux personnes les plus vulnérables dans le monde avant que des rappels ne soient administrés aux personnes entièrement vaccinées, a-t-il déclaré, ajoutant: « Nous en sommes loin, très loin. »
Il semble que l’OMS est prêt à sacrifier les gens des pays les plus réactifs à la vaccination au profit des autres qui ne sont pas prêt à budgétiser une campagne pour leur peuple !.
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