ABONNEZ VOUS A NOTRE NEWSLETTERDes chercheurs de quatre instituts médicaux israéliens ont identifié des signes précoces dans le corps qui indiquent que le cancer du sein est sur le point de se propager à d’autres organes. La découverte pourrait sauver des millions de vies. Ils ont également découvert que la protéine MYC accélère la croissance des cellules cancéreuses.
Des chercheurs israéliens ont réussi à cartographier la propagation des cellules cancéreuses du sein en analysant les changements tissulaires dans d’autres parties du corps, ce qui pourrait être une percée dans la bataille contre le cancer du sein métastatique.
Selon les chercheurs, les tissus des organes où les cellules cancéreuses sont amenées à arriver « préparent la zone » à la réception et leur créent un environnement hospitalier, bien avant l’apparition des métastases elles-mêmes.
Les chercheurs ont découvert que ces «préparations» sont détectables et sont un signe précoce du développement possible de métastases, et que comprendre ce processus et diagnostiquer ces changements à un stade précoce peut conduire à un traitement préventif salvateur du cancer du sein.
Les métastases sont des cellules cancéreuses qui se sont propagées d’une partie du corps à une autre. Par exemple, une personne atteinte d’un cancer du sein peut éventuellement découvrir des cellules cancéreuses du sein dans ses poumons. C’est ce qu’on appelle des métastases du cancer du sein, pas un cancer du poumon.
L’étude, qui a été publiée dans la revue elife et diffusée via un communiqué de presse de l’Université de Tel Aviv mercredi, a été dirigée par le professeur Neta Erez, présidente du département de pathologie de la faculté de médecine Sackler, avec l’équipe de recherche de son laboratoire. , le Dr Ophir Shani et le Dr Yael Raz, ainsi que d’autres chercheurs de l’Université de Tel Aviv, du Tel Aviv Medical Center (Ichilov), du Sheba Medical Center et de l’Institut Weizmann.
[signoff]
