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Une expérience a été approuvée par la Commission d’Helsinki de l’hôpital Meir, testant une méthode qui pourrait diagnostiquer le coronavirus en moins d’une minute.
La nouvelle méthode « permettra un test de diagnostic simple et rapide, qui peut être utilisé n’importe où, depuis les aéroports, les hôtels, les sites touristiques et les stades de football », a déclaré l’ancien PDG de la BID, Shulam Lapidot, et plus récemment chef de Next-Gen. « Notre succès aidera la communauté et l’économie à reprendre leurs activités et à reprendre leurs activités normales le plus rapidement possible. »
Le test est basé sur une machine respiratoire développée par les sociétés israéliennes Next-Gen et Scentech, elle est similaire à l’alcootest que la police utilise pour trouver de l’éthanol contenu dans le sang. De la même manière, la nouvelle méthode devrait être en mesure d’identifier les signes biologiques associés au coronavirus et à la maladie qu’il provoque et, grâce à un test simple et court, permettra les diagnostics du virus.
Next-Gen s’est associé aux technologies médicales Scentech , qui traitent de l’identification des composés organiques volatils, et qui s’est associé à l’hôpital Meir afin de tester le nouveau test respiratoire contre le coronavirus. 
L’essai sera mené sur des patients atteints du coronavirus avec différents niveaux de gravité de la maladie. La méthode vise à distinguer les composés gazeux de l’haleine, en isolant ceux associés au virus. 
Les entreprises expliquent que ce type d’examen présente plusieurs avantages, notamment le fait de faire face à plusieurs difficultés que rencontrent les équipes médicales actuelles pour diagnostiquer le virus. Un de ces exemples étant que ce test pourra permettre aux patients asymptomatiques, ainsi qu’aux patients aux premiers stades de la maladie, de permettre un isolement plus tôt. 
En outre, le test respiratoire permet une technologie numérique qui réduira considérablement le temps nécessaire pour obtenir des résultats, par rapport à la méthode actuelle qui prend plus de deux jours, permettant une augmentation de la fiabilité des résultats. 
Le dispositif sera également en mesure d’identifier «l’empreinte digitale» génétique du virus, ce qui permettra d’identifier «l’empreinte digitale» du virus potentiel à l’origine de la prochaine épidémie.
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