Le drame de la semaine à Hadera a relancé l’alerte sur un phénomène préoccupant : un adolescent s’est noyé dans une zone de baignade non surveillée, son corps ayant été retrouvé sans vie peu après. Ce tragique incident rappelle une réalité trop souvent ignorée : les plages sans maître-nageur peuvent se transformer en véritables pièges mortels.

Un choix risqué malgré les mises en garde
Selon les autorités, de plus en plus de baigneurs choisissent de fréquenter des plages « sauvages » ou non reconnues, séduits par leur tranquillité et leur isolement. Pourtant, l’absence de surveillance signifie aussi l’absence de secours immédiats en cas de courant violent ou de malaise en mer.

Des noyades évitables
En Israël, chaque été, plusieurs décès par noyade surviennent dans des zones où la baignade est interdite ou non encadrée. Les maîtres-nageurs professionnels rappellent que la majorité de ces drames pourraient être évités si les baigneurs respectaient les drapeaux d’avertissement et fréquentaient uniquement les plages surveillées.

Appel à la vigilance
Les services de secours et la police maritime mettent en garde : même les nageurs confirmés peuvent être emportés par les courants de baïnes ou surpris par des vagues soudaines. « Un bain de mer peut virer au drame en quelques secondes », souligne un responsable de la protection côtière.

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