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Lundi, l’administration aéroportuaire a annoncé qu’Israël resterait un pays fermé jusqu’au 1er septembre, et peut-être plus longtemps.

Après la première « vague » de l’épidémie, avec laquelle Israël s’est bien comporté, Chypre et la Grèce, et peut-être d’autres pays européens, pourraient être ouverts pour nous à partir du 1er août. Mais pour le moment, Israël est déclaré « zone rouge », personne ne va nous laisser entrer, mais nous ne sommes pas prêts non plus à recevoir des touristes.

Même les passagers en transit ne sont pas autorisés à entrer s’ils n’ont pas l’autorisation du Bureau de la population et de l’immigration. Les citoyens israéliens peuvent retourner dans le pays et le quitter si le pays hôte est prêt à les accepter.

Israir, qui est toujours impliqué dans le transport de passagers, les vols dits « d’évacuation », prévoit d’ouvrir des vols normaux au plus tôt l’année prochaine.

El-Al restructure l’entreprise. 1 500 personnes ont été mises à pied, les pilotes n’ont pas encore signé d’accord, donc l’entreprise n’a pas encore reçu un prêt de 250 millions de dollars pour couvrir ses dettes.

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