Selon des sources bien informées du secteur audiovisuel israélien, la chanteuse Noa Kirel a trouvé un accord de principe pour rejoindre la prochaine saison de The Voice, qui fera son retour à l’écran sur la chaîne 13. Bien qu’aucune signature officielle n’ait encore été apposée au contrat, l’essentiel des modalités serait déjà arrêté, et seuls des éléments imprévus pourraient encore remettre en cause cette collaboration très attendue.
Si l’accord se concrétise, Noa Kirel deviendrait la première mentor officiellement confirmée de la nouvelle saison de l’émission musicale. Ce choix est perçu par de nombreux observateurs comme une décision stratégique majeure de la production, qui cherche à relancer le format après plusieurs saisons marquées par une concurrence accrue et une fragmentation de l’audience. La présence de Kirel, figure incontournable de la pop israélienne contemporaine, vise clairement à attirer un public jeune tout en renforçant la crédibilité artistique du programme.
Âgée de seulement 24 ans, Noa Kirel s’est imposée en moins d’une décennie comme l’une des artistes les plus influentes d’Israël. Chanteuse, danseuse et performeuse accomplie, elle incarne une nouvelle génération d’artistes israéliens à l’esthétique internationale, capables de rivaliser avec les standards des grandes productions américaines et européennes. Son parcours, marqué par des succès commerciaux, des tournées à guichets fermés et une forte présence sur les réseaux sociaux, fait d’elle une candidate naturelle pour un rôle de mentor dans un programme destiné à révéler les talents de demain.
Selon les informations disponibles, la production de The Voice souhaite constituer un panel de mentors mêlant figures établies et artistes populaires auprès du grand public. Outre Noa Kirel, les noms d’Omer Adam et d’Eden Ben Zaken circulent avec insistance en coulisses. Ces deux artistes, déjà rompus aux grandes scènes et aux projecteurs médiatiques, pourraient former avec Kirel un trio capable de dynamiser considérablement l’émission. En revanche, la participation de Sarit Hadad, dont le nom avait été évoqué dans un premier temps, semble désormais peu probable selon les dernières indications.
La nouvelle saison de The Voice est programmée pour une diffusion estivale, un créneau stratégique qui vise à capter l’attention d’un public plus disponible et à s’imposer comme un rendez-vous incontournable de la grille estivale. En parallèle du recrutement des mentors, la production s’emploie activement à finaliser le choix de l’animateur ou de l’animatrice. Parmi les noms évoqués figure celui de Bar Refaeli, qui avait déjà animé X Factor Israel par le passé et aurait récemment rencontré les dirigeants de la chaîne pour discuter de différentes options. Le nom de Michael Aloni est également mentionné, celui-ci ayant déjà occupé ce rôle dans des saisons précédentes.
L’arrivée potentielle de Noa Kirel dans le fauteuil de mentor est perçue comme un signal fort envoyé à l’industrie musicale locale. Elle marque une volonté de renouvellement générationnel, mais aussi une reconnaissance institutionnelle du parcours d’une artiste longtemps associée à la pop grand public et désormais considérée comme une référence artistique légitime. Pour Kirel, ce rôle représente une nouvelle étape dans une carrière déjà riche, lui offrant l’opportunité de transmettre son expérience et d’influencer directement la prochaine génération de chanteurs israéliens.
Du point de vue de la production, le pari est clair : capitaliser sur la notoriété massive de Noa Kirel, son image moderne et son lien étroit avec les jeunes publics pour redonner à The Voice un élan populaire. À une époque où les émissions musicales traditionnelles doivent rivaliser avec les plateformes numériques et les réseaux sociaux, l’intégration d’une star issue de cette culture digitale apparaît comme une adaptation nécessaire aux nouvelles habitudes de consommation.
Reste à savoir comment Noa Kirel endossera le rôle de mentor, un exercice qui exige non seulement une expertise musicale, mais aussi des qualités pédagogiques et humaines. Les attentes sont élevées, tant du côté de la production que du public. Si l’accord est définitivement signé, sa participation pourrait bien redéfinir l’identité de The Voice en Israël et en faire, une fois encore, un tremplin central pour les talents émergents.






