ABONNEZ VOUS A NOTRE NEWSLETTERLe rabbin Pinto a commencé son discours par une prière pour le peuple d’Israël : « Que le Saint, béni soit-Il, adoucisse les jugements sévères sur le peuple d’Israël et ait pitié de la famille. Tout Israël est une seule famille et puisse-t-Il accorder sa miséricorde à la chère famille, la famille Bibas . Que le Saint, béni soit-Il, venge leur sang. »
Le rabbin Pinto a évoqué cette journée difficile et a déclaré : « C’est une tristesse qui affecte tout Israël, une douleur très difficile pour tout le peuple d’Israël. » Selon lui, c’est un moment de « brisement du cœur de toutes les familles. Une tristesse qui ne peut être ni comprise ni décrite. »
« Comment réconforter une famille comme celle-ci ? Comment consoler le peuple d’Israël dans une telle souffrance ? C’est une souffrance qui ne peut être ni mesurée ni décrite », a déclaré le rabbin, profondément attristé.
Le rabbin Pinto a souligné l’importance de l’unité au sein du peuple d’Israël et a appelé à mettre fin aux conflits : « Le peuple d’Israël, lorsqu’il y a un amour inconditionnel entre eux, cela protège le peuple d’Israël », a expliqué le rabbin Pinto. « On peut se disputer, on peut être en désaccord. Le peuple d’Israël est un peuple sage, un peuple qui aime les débats… mais il reste aimant. »
Il a donné l’exemple de Beit Shammai et Beit Hillel, qui n’avaient pas les mêmes points de vue dans la salle d’étude mais « à l’extérieur, leurs enfants se sont mariés », montrant ainsi l’amour inconditionnel au sein du peuple d’Israël.
Selon lui, les disputes sont source de destruction pour le peuple d’Israël : « Il faut se tenir à l’écart de toute forme de dispute. Toute forme de dispute n’apporte aucune bénédiction. Les disputes sont malsaines, elles ne profitent à personne, elles ne font que nuire à une personne. Le peuple d’Israël doit lutter de toutes ses forces pour l’amour inconditionnel. »
« L’attribut du jugement n’est pas bon. L’attribut de la miséricorde est la plus grande chose, la plus importante et la meilleure chose », a conclu le rabbin Pinto.
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