ABONNEZ VOUS A NOTRE NEWSLETTERL’idée de l’Université populaire remonte au début du 18e siècle, à son origine le pasteur protestant danois Nikolai Frederick Severin Grundtwig. Le concept s’est ensuite répandu dans toute l’Europe, et notamment en France, où la première université populaire fut fondée en 1848, sous la houlette d’un de ses célèbres présidents, nommé « Victor Hugo ».
Pourquoi ?
L’Université populaire est née du désir de démocratisation de la culture en diffusant des savoirs et des opinions au plus grand nombre, sur une base volontaire à plein temps.
La connaissance et la raison sont des outils pour construire la personnalité, pas un concept socio-économique.
L’Université populaire repose notamment sur l’idée que le désir de culture et le désir d’apprendre sont importants pour construire la société humaine de demain.
L’Université populaire est le fruit d’un équilibre, entre l’élitisme des universités et la simplicité des cafés littéraires. Nous nous efforçons d’enseigner au plus grand nombre les moyens de formuler une pensée critique, les outils pour comprendre le monde dans lequel nous vivons, pour reconnaître et appréhender les forces à notre disposition. Nous rendre acteurs de nos propres existences.
Comment cela fonctionne-t-il ?
L’Université populaire s’inspire de l’université dite traditionnelle quant à la qualité de l’enseignement donné. Le principe est que chacun peut acquérir les connaissances nécessaires à sa progression personnelle, dans les domaines qui l’intéressent. Dans le même temps, a l’inspiration des cafés littéraires, elle reste accessible à tous, quels que soient l’âge, le sexe, la religion et le statut social. Les participants sont invités à prendre part à la discussion, à développer un esprit critique et à pratiquer le dialogue comme un outil pour rencontrer la connaissance. Le but de l’Université populaire est la libre démocratisation culturelle, c’est-à-dire « le partage des idées, des pensées et des opinions différentes ».
L’équipe « Café Daat » avec Amour et Affection pour tous et toutes !
Par Rony Akrich
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