La scène pourrait presque prêter à sourire si elle n’avait pas des conséquences aussi désastreuses : près de 500 000 voyageurs se retrouvent bloqués à travers le monde à cause d’une grève surprise des 10 000 stewards et hôtesses d’Air Canada. Mais ce lundi 18 août 2025, la « Canadian Industrial Relations Board » (CIRB), sorte de Conseil national du travail canadien, a tranché : cette grève est illégale et doit cesser immédiatement.
Pendant que les syndicats occidentaux jouent avec la vie de centaines de milliers de passagers, Israël, lui, fait voler ses avions malgré les missiles du Hamas. Deux réalités parallèles : l’une, tragiquement bureaucratique, l’autre, héroïquement pragmatique.
Une grève foudroyée par la justice
La décision est tombée comme un couperet : les dirigeants du CUPE (Canadian Union of Public Employees) doivent ordonner à leurs membres de reprendre le service immédiatement. Le tribunal a même exigé une communication publique d’ici midi, heure d’Ottawa, annonçant noir sur blanc la fin de la grève.
La sanction est claire : ce mouvement social, déclenché sans respecter les procédures légales, met en péril non seulement la compagnie mais aussi l’économie canadienne et, par ricochet, l’image d’un pays supposé moderne et organisé.
500 000 passagers pris en otage
Depuis le vendredi 16 août, Air Canada et sa filiale Air Canada Rouge sont clouées au sol. Les chiffres sont ahurissants : 500 000 clients ont vu leurs vols annulés ou retardés. Pour certains, cela signifie la perte de vacances, de rendez-vous professionnels ou même de moments familiaux essentiels.
Les réseaux sociaux se sont immédiatement enflammés. Des images de files interminables dans les aéroports de Toronto, Montréal et Vancouver montrent des familles effondrées, des étudiants bloqués et des touristes complètement perdus.
Quand les syndicats se croient au-dessus des lois
Ce n’est pas la première fois qu’un syndicat nord-américain franchit la ligne rouge. Mais l’exemple d’Air Canada est frappant : dans un pays où l’on prêche le respect de la légalité, un syndicat de d’« élite » aérienne choisit sciemment de paralyser un service vital.
On imagine aisément ce que donnerait une telle situation en Israël : alors que Tsahal fait face chaque jour au terrorisme, les équipages de El Al n’ont jamais cessé de voler, même en plein conflit. Pendant que les Occidentaux se laissent prendre en otage par des revendications corporatistes, Israël continue d’assurer la vie quotidienne malgré les menaces existentielles.
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Le contraste : Israël sous les roquettes, le Canada sous les syndicats
La comparaison est brutale mais révélatrice.
- En Israël, les pilotes de chasse décollent en quelques minutes pour protéger le ciel, et les avions civils d’El Al volent, même quand l’aéroport Ben Gourion est sous la menace des missiles du Hamas.
- Au Canada, aucun missile n’est tiré, aucun danger immédiat ne plane… mais une poignée de délégués syndicaux suffit à paralyser le pays.
C’est la démonstration que la véritable force d’une société ne réside pas dans ses syndicats, mais dans sa capacité à maintenir discipline, responsabilité et solidarité nationale.
Une gestion de crise brouillonne
Air Canada a publié un communiqué officiel, exprimant « ses regrets » et promettant un retour rapide à la normale. Mais la compagnie peine à convaincre. Les passagers furieux parlent déjà de class actions, ces plaintes collectives qui risquent de coûter des millions de dollars en indemnisations.
Quant au gouvernement canadien, il se contente pour l’instant d’appeler au respect de la loi, laissant planer un sentiment d’impuissance.
L’ironie tragique : quand le luxe devient un caprice
Beaucoup de passagers soulignent une hypocrisie flagrante : Air Canada se vante de son image de compagnie moderne et luxueuse, mais elle se retrouve incapable de garantir le minimum vital : le transport de ses clients.
La scène prête presque à l’humour noir : pendant qu’à Gaza, Tsahal déploie des robots explosifs pour nettoyer les tunnels du Hamas, le Canada déploie… des avocats pour rappeler aux syndicats qu’il est interdit de bloquer des avions au sol.
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Leçons pour Israël et le Moyen-Orient
Ce qui se passe au Canada devrait servir de rappel : un pays qui tolère des grèves illégales dans des secteurs stratégiques se fragilise lui-même. Israël, habitué aux situations de crise, a compris depuis longtemps qu’un service vital ne peut pas être abandonné à des luttes internes.
Alors que certains pays occidentaux sombrent dans la bureaucratie et le confort syndical, Israël doit poursuivre son modèle basé sur la résilience, la responsabilité collective et l’innovation.
La « grève illégale » d’Air Canada n’est pas qu’un simple conflit social. Elle est le symbole d’un Occident englué dans ses contradictions : un demi-million de voyageurs abandonnés, un gouvernement spectateur et des syndicats qui se croient tout permis.
À l’inverse, Israël rappelle chaque jour au monde que, même sous le feu des roquettes, la vie continue, les avions décollent et la sécurité nationale prime sur les caprices corporatistes.
🔗 Sources complémentaires : Air Canada – Wikipédia, Relations industrielles au Canada – Wikipédia, Tsahal – Wikipédia.






