L’immigration en Israël de Juifs et de leurs proches s’est élevée à un peu plus de 16 000 au premier semestre de 2019, soit une augmentation de près de 30% par rapport à la période correspondante de l’année dernière. Environ les trois quarts provenaient de pays faisant partie de l’Union soviétique.
Les immigrés originaires de pays de l’ex-Union soviétique ou sous son influence qui ne sont pas encore membres de l’Union européenne représentaient les deux tiers des 12 366 immigrés du premier semestre 2018. Ils représentaient 74% des chiffres de cette année.
La grande majorité des immigrants russophones est originaire de Russie, où l’aliyah a augmenté de 72%, atteignant 7 884 personnes cette année, et d’Ukraine, de 9% à 3 007 immigrants.
L’Aliyah des États-Unis n’a pas subi de changements majeurs, avec 910 arrivées au premier semestre de 2018 et 843 au cours des mois de janvier à juin 2019.
L’alyah française a chuté de 21%, pour atteindre 795 arrivées.