ABONNEZ VOUS A NOTRE NEWSLETTERSelon Ben-Zeev, de nombreuses sociétés de technologie israéliennes sont acquises par des sociétés étrangères, ce qu’il considère comme « des opportunités manquées au niveau national ». Beaucoup de ces sociétés de technologie ont été fondées par des entrepreneurs qui ont acquis leur expertise et leurs connaissances tout en servant dans l’élite de l’armée israélienne, a-t-il dit, ajoutant qu’au cours de la dernière décennie, la prise de contrôle étrangère d’entreprises technologiques israéliennes avait coûté 112 milliards de dollars au pays.
Les employés et les dirigeants de ces entreprises bénéficient de ces accords, a-t-il dit, mais le public israélien n’a pas la possibilité d’investir dans des entreprises privées israéliennes.
« Nous voulons que nos principaux indices reflètent fidèlement l’économie israélienne », a déclaré Ben-Zeev. Selon lui, au cours de la dernière décennie, il y a eu une croissance sur les marchés internationaux, mais les grandes entreprises israéliennes ne sont pas représentées au TASE, ce qui limite leur exposition au public.
« Nous ne voulons pas que cette décennie de sorties soit une décennie perdue », a-t-il déclaré. «Nous avons créé un modèle pour les multinationales israéliennes: une introduction en bourse de Tel Aviv avec la valorisation de Wall Street. Roadshows non seulement en Israël, mais à Londres et à New York. De cette façon, les entreprises rencontrent des investisseurs européens et il est possible d’investir dans les entreprises sur le TASE. »
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