Une nouvelle affaire judiciaire secoue Hollywood et alimente les spéculations les plus sensibles. Une plainte civile déposée récemment aux États-Unis avance une accusation spectaculaire : Riley Keough, fille de Lisa Marie Presley, aurait servi d’ovocyte donneur et serait, selon cette version, la mère biologique du plus jeune fils de John Travolta. Une affirmation catégoriquement démentie par les parties concernées et qui, à ce stade, n’a été étayée par aucune preuve judiciaire.

L’accusation figure dans un dossier plus large lié à des conflits financiers et successoraux autour de la gestion de la succession de Lisa Marie Presley, décédée en 2023. La plaignante, une ancienne associée de Priscilla Presley, affirme que le couple formé à l’époque par Travolta et sa défunte épouse Kelly Preston aurait eu recours aux ovocytes de Riley Keough pour la naissance de leur fils Benjamin en 2010. Selon cette version, une compensation financière modeste aurait été proposée, accompagnée d’avantages matériels — des éléments que la défense qualifie d’« absurdes ».

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Les documents évoquent également, toujours selon la plaignante, qu’une autre option aurait initialement été envisagée — l’utilisation d’ovocytes de Lisa Marie Presley elle-même — avant d’être abandonnée pour des raisons personnelles et médicales. Ces discussions auraient, d’après l’accusation, eu lieu dans un cercle familial restreint, sans exposition publique.

Face à ces allégations, la réaction a été immédiate. Les avocats de Priscilla Presley ont dénoncé des « accusations mensongères, humiliantes et sans lien avec l’objet réel de la procédure », accusant la partie adverse de chercher à exercer une pression médiatique indue. Les représentants de Riley Keough et de John Travolta n’ont pas publié de déclaration détaillée, mais des sources proches du dossier indiquent un rejet total et sans équivoque des faits allégués.

Il est essentiel de rappeler que cette affaire en est à un stade préliminaire : il s’agit d’allégations non prouvées, formulées dans un cadre judiciaire civil, et qui devront être examinées par les tribunaux compétents. Aucune instance n’a, à ce jour, validé ou confirmé ces affirmations.

En attendant, Hollywood se retrouve une nouvelle fois confronté à un récit familial aussi spectaculaire que délicat, où la frontière entre drame judiciaire réel et emballement médiatique demeure ténue. L’évolution de la procédure dira si cette affaire restera une rumeur juridique parmi d’autres — ou si elle ouvrira un nouveau chapitre contentieux aux conséquences majeures pour les personnes citées.