Une rencontre déterminante avec Israël
Son lien avec Israël ne date pas d’hier. Il remonte à la guerre du Golfe, en 1990-1991, lorsqu’il se rend pour la première fois dans le pays dans un cadre professionnel. Ce qu’il découvre alors le marque à jamais : la résilience incroyable d’un peuple vivant sous menace, mais debout et uni.
Cette expérience devient une source d’inspiration durable. Trente ans plus tard, sa plume continue de rendre hommage à ceux qui incarnent le courage, la mémoire et la dignité juive.
Des chansons qui refusent l’oubli
Parmi ses textes les plus marquants, on trouve :
- « Le prix d’un homme » – Un hommage bouleversant à Eli Sharabi, l’une des victimes israéliennes dont le nom doit rester gravé dans les mémoires. Ce titre est à ce jour le seul enregistré en studio, interprété avec émotion par Joséphine Oz (écouter sur YouTube).
- « Les serpents d’Eden » – Écrit en réaction à l’acharnement et aux huées subies par Eden Golan, chanteuse israélienne courageuse, lors d’une prestation internationale, face à des foules hostiles (Paroles ici).
- « Déchirer la honte » – Inspiré par l’image insoutenable d’une manifestation où des partisans de Jean-Luc Mélenchon ont osé déchirer la photo d’un bébé israélien de 9 mois assassiné le 7 octobre. « Un deuxième assassinat », écrit-il, pour dire l’horreur de cet acte (Paroles ici).
- « Justes » – Un hommage vibrant à Beate et Serge Klarsfeld, figures historiques de la traque des criminels nazis et de la mémoire de la Shoah (Paroles ici).
- « Gravé d’or » – Réponse artistique à la profanation récente du Mur des Justes par de la peinture verte. Ce titre, qui sera prochainement enregistré par la même interprète que « Le prix d’un homme », transforme l’indignation en message de mémoire et de fierté (Paroles ici).
- 12 hirondelles – Une coup de colère après qu’une petite fille de 12 ans fut violée et humiliée juste pour sa religion (Paroles ici)
Un engagement artistique à contre-courant
À l’heure où l’industrie musicale privilégie les productions neutres et consensuelles, ce parolier prend des risques : parler d’Israël, de ses héros, de ses victimes, et dénoncer l’antisémitisme sous toutes ses formes.
« J’écris selon mes convictions, pas pour plaire au marché », confie-t-il. Une position rare, qui lui vaut respect et reconnaissance dans les cercles pro-israéliens, mais qui le laisse parfois isolé dans le milieu artistique.
Un appel aux artistes courageux
Aujourd’hui, il lance un appel : trouver des interprètes, chanteurs ou musiciens prêts à porter ses textes. Des artistes qui ne reculeront pas devant la charge émotionnelle et politique de ces chansons, mais qui y verront au contraire une force et une nécessité.
« Mes titres méritent mieux que de rester dans un tiroir », affirme-t-il. Et il a raison : dans un contexte où Israël est la cible d’un déferlement de haine et de désinformation, chaque parole, chaque mélodie, chaque hommage compte.
Mémoire, vérité et fierté juive
À travers ses chansons, il participe à ce que tant d’Israéliens et d’amis d’Israël considèrent comme essentiel : ne pas laisser l’histoire s’écrire sans nous. Rappeler les noms, les visages, les faits. Dénoncer l’injustice, honorer les Justes et les victimes, soutenir les vivants.
Car, comme le répètent souvent les défenseurs de la mémoire, oublier, c’est laisser mourir une deuxième fois.
Pour écouter et soutenir :
🎵 Le prix d’un homme – hommage à Eli Sharabi
🎵 Les serpents d’Eden
🎵 Déchirer la honte
🎵 Justes
🎵 Gravé d’or
🎵 12 hirondelles
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