ABONNEZ VOUS A NOTRE NEWSLETTEROphectra Real Estate and Investments Ltd. a annoncé mercredi avoir signé un protocole d’accord pour fusionner avec MeaTech, qui développe une technologie pour l’impression 3D de viande propre cultivée en laboratoire et produite à partir de cellules souches.
MeaTech est une société israélienne de haute technologie engagée dans le secteur de la technologie alimentaire, qui vient de terminer un tour de table de financement d’amorçage de 7 millions de NIS. La société développe un procédé technologique avancé et unique pour la production industrielle de viande propre sans abattage d’animaux, en utilisant la technologie d’impression 3D de cellules souches.
MeaTech a récemment déposé plusieurs demandes d’enregistrement de brevets dans son domaine et a noué des collaborations avec des organisations universitaires de premier plan et de renommée mondiale dans le domaine de la technologie alimentaire.
La société est dirigée par la fondatrice et directrice générale Sharon Fima, avec le professeur Tal Dvir de l’Université de Tel Aviv et le professeur Shlomo Magdassi de l’Université hébraïque de Jérusalem.
MeaTech est en train de construire un prototype d’imprimante et de finaliser la cartographie de ses processus de travail et de son développement.
Le PDG d’Ophectra, Shmuel Levy, a déclaré que la société envisageait de fusionner avec une société du secteur en pleine croissance de la technologie alimentaire, qui offre d’excellentes perspectives pour l’avenir – sur le plan moral, environnemental et financier.
«Nous sommes ravis de procéder à la fusion avec une société du secteur de la technologie alimentaire qui développe des viandes imprimées en 3D. C’est un secteur en croissance dû à une reconnaissance publique accrue du besoin de viande issue de procédés technologiques n’impliquant pas l’élevage et l’abattage du bétail tout en maintenant des conditions stérilisées sans contamination, ainsi que des économies de coûts attendues », a-t-il déclaré.
« MeaTech est dirigé par des gestionnaires expérimentés dans le domaine de l’impression 3D et par des professionnels de haut niveau issus des principales universités israéliennes, qui ont déjà mobilisé des fonds pour le développement initial du projet auprès d’investisseurs de renom qui croient au développement futur du secteur de la viande alternative », a-t-il ajouté.
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