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La nuit du 21 au 22 juin 2025 restera gravée comme l’une des plus audacieuses interventions militaires américaines depuis le début du XXIe siècle. Dans une opération planifiée avec minutie, surnommée « Midnight Hammer », l’armée américaine a infligé un coup stratégique majeur aux ambitions nucléaires de la République islamique d’Iran. Trois sites sensibles – Fordow, Natanz et Ispahan – ont été ciblés et lourdement endommagés. Une mission complexe de plus de 37 heures, qui a mobilisé des moyens militaires inédits, mais aussi des stratégies de diversion d’un raffinement digne de la guerre froide.

Une manœuvre d’envergure intercontinentale

Les bombardiers furtifs B-2 Spirit ont décollé d’une base de l’US Air Force au Missouri pour un vol de plus de 37 heures aller-retour, sans escale, avec ravitaillements multiples en vol. En parallèle, le Pentagone a volontairement diffusé des informations erronées sur des mouvements vers Guam, afin de détourner l’attention iranienne.

Cette diversion a permis aux B-2 de s’approcher sans éveiller de soupçons. Une fois à portée, ils ont largué quatorze bombes GBU-57 – les « Massive Ordnance Penetrators », pesant chacune plus de 13 tonnes – une arme jamais utilisée en opération jusque-là.

Destruction méthodique des capacités nucléaires

Le site de Fordow, enterré sous 90 mètres de roche, a reçu le plus grand nombre de projectiles : 12 bombes GBU-57, selon les informations du Pentagone. Les deux autres, Natanz et Ispahan, ont également été frappés par des missiles Tomahawk tirés depuis des sous-marins positionnés à plus de 600 km des côtes iraniennes.

Ces frappes ont provoqué des dégâts considérables. Selon les premiers rapports du renseignement israélien et américain, le site de Natanz aurait été totalement détruit. À Ispahan, le centre de recherche construit avec l’aide de la Chine a subi des dommages critiques. À Fordow, les experts attendent des analyses plus approfondies, bien que les images satellites indiquent la formation de plusieurs cratères.

Trump revendique le succès et lance un message clair

Lors de son allocution depuis la Maison-Blanche, le président Donald Trump a salué une « réussite militaire spectaculaire ». Il a déclaré :

« Notre objectif était clair : détruire la capacité d’enrichissement nucléaire de l’Iran. Cette mission n’avait rien à voir avec un changement de régime, mais avec la sécurité régionale et mondiale. »

Le président américain a également remercié le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou et l’armée israélienne, qualifiant leur coordination de « sans précédent ».

L’Iran sous pression et au bord de la rupture

Dans un aveu rare, l’Organisation iranienne de l’énergie atomique a reconnu que les installations de Fordow, Natanz et Ispahan avaient été frappées. La République islamique accuse Washington de « barbarie », dénonçant une violation du droit international et du traité de non-prolifération nucléaire (TNP).

Mais en coulisse, selon plusieurs services de renseignement, le régime fait face à une crise de confiance sans précédent. Pannes d’Internet, paniques locales, mouvements de population et effondrement partiel du système bancaire signalent une perte de contrôle. Les Gardiens de la Révolution parlent ouvertement de « début de guerre ».

La menace du détroit d’Ormuz : un point de bascule ?

L’un des développements les plus préoccupants concerne l’approbation par le Parlement iranien d’une motion autorisant la fermeture du détroit d’Ormuz – par lequel transite environ 30 % du pétrole mondial. Une décision définitive de la part du Guide suprême pourrait faire basculer la crise régionale en une guerre globale énergétique.

Le Royaume-Uni, via le Premier ministre Keir Starmer, a soutenu les États-Unis tout en appelant à une désescalade. « Le monde ne peut pas permettre à l’Iran d’avoir l’arme nucléaire », a-t-il martelé.

La position israélienne : une promesse tenue

Le Premier ministre Netanyahou a affirmé dans un message solennel :

« Dès le début de l’opération ‘Avec le cœur d’un lion’, j’ai promis que les sites nucléaires de l’Iran seraient neutralisés. Cette promesse a été tenue. »

Tsahal continue de frapper en Iran, en particulier les infrastructures militaires et les dépôts de drones dans le sud et l’ouest du pays. Le chef d’état-major israélien a déclaré que l’armée « agira sans relâche jusqu’à la suppression de la menace existentielle ».

Et maintenant ? Une région au bord de l’embrasement

Le chef de la diplomatie iranienne a annoncé une rencontre avec Vladimir Poutine et prévenu que les représailles n’interviendraient qu’une fois les frappes terminées. L’axe de la résistance, incluant le Hezbollah et les Houthis, pourrait entrer pleinement dans le conflit dans les prochains jours. Le détroit d’Ormuz est le baril de poudre ; une étincelle pourrait suffire.


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