Le Ministère de la santé recommande des alternatives à la malbouffe telles que le poulet frais, les légumineuses et les légumes frais.
Le gouvernement israélien se serre la ceinture avec de nouvelles directives alimentaires publiées la semaine dernière par la Commission de la fonction publique israélienne (CSC).
Les nouvelles directives détaillent les rafraîchissements qui peuvent ou ne peuvent pas être servis lors de réunions et d’événements gouvernementaux. Selon les nouvelles directives, les fruits et légumes frais, le yogourt non sucré et les biscuits salés au riz sont présents. Les sodas, les bonbons et les pâtisseries sont exclus. Le quotidien israélien Yedioth Ahronoth a d’abord rendu compte des nouvelles directives alimentaires lundi matin.
La nouvelle directive est conçue pour stopper les portions d’aliments riches en calories, en gras et en sodium dans les fonctions officielles du gouvernement. Elle s’applique à tous les bureaux du gouvernement, y compris le parlement israélien, les tribunaux, les hôpitaux gérés par le gouvernement et les bureaux de l’autorité fiscale.
Un des aliments qui a été excommunié par le CSC est le borekas, une pâtisserie savoureuse populaire servie couramment lors de réunions et d’événements. Les borekas ont souvent été mentionnés dans les discussions sur le régime alimentaire et la nutrition en raison de leur teneur élevée en matières grasses et de leur popularité. Ces dernières années, il a été formellement déclaré interdit de proposer ce produit dans les cafétérias scolaires, des hôpitaux et même la salle à manger du parlement israélien.
Les nouvelles directives font partie d’une initiative plus large du ministère de la Santé israélien visant à promouvoir des choix sains par rapport aux aliments hautement transformés et malsains.